Gare Cornavin, 1909. Un type bout d’impatience et de chagrin dans une file d’attente. Ce n’est autre que Ferdinand Hodler – oui, le peintre - qui vient de perdre son amante. Augustine est morte et c’est insoutenable. A défaut du pinceau, ce sont la voix d’une soprano, les mots d’un auteur hongrois, le jeu d’un comédien béninois qui donnent naissance aux paysages dessinés par Hodler.
texte › Làszlo Krasznahorkai
mise en scène › Laure Donzé
jeu › Joël Lokossou
chant › Bénédicte Tauran