Dans « La Fin du début », Solal Bouloudnine joue l’autofiction cocasse et touchante en nous embarquons dans la chambre d’un enfant des années 90. Le constat est simple. Tout à un début, et une fin, à commencer par la vie…
À travers une galerie de personnages un peu fous et au son des chansons de Michel Berger, on rit de l’atrocité du cancer, des maladies vénériennes et cardiovasculaires, gastriques aussi, et cérébrales, de la solitude qui le ronge terriblement, de l’incommunicabilité entre les êtres, de l’enfance insouciante et naïve qui s’en est allée à jamais, viciée par les assauts du monde insurmontable, injuste et cruel.
Alors, on prend ses billets ? Encore un peu hésitant·e? Ah! Laissez-vous « bouleverser » par ces quelques paroles que Solal offre à Nuithonie.